L’Obiou – Massif du Dévoluy – 3 août 2016

Et trois Valbonnétins de plus sur l’Obiou, sommet majestueux et emblématique du Sud Isère, point culminant (2789m) du Massif du Dévoluy .
Une première pour Nicole et Sophie.
Pour atteindre la cime depuis le Col du Petit Obiou,  Nicole et Marie- Pierre sont montées par la voie normale escarpée et délicate, tandis que Sophie, Eric et Michel sont passés  par les mythiques Chatières, où certes il faut avoir la forme, mais surtout de ne pas avoir trop de formes…
Retrouvailles au sommet, tour d’horizon, photos, casse croute et descente tous les cinq par la voie normale.
Carton plein avec pour bonus d’une grotte englacée!!!

 

Bergerie des Chaumailloux – Vercors – 6,7 février 2016

Nous avions reconnu la cabane en novembre 2015.
Trois mois plus tard nous y retournons pour passer le weekend.
Montée au Pas de l’Aiguille (1622m) pour 6 d’entre-nous en début d’après-midi .
Après la pause casse-croute à la cabane, nous poursuivons jusqu’au sommet de Tête Chevalière (1951m).
Au retour nous retrouvons avec plaisir le reste de la troupe : Anne, Hervé et leurs filles Clémence et Maud, l’équipe est au complet.
Le temps change, le baromètre chute vertigineusement, il est temps de rentrer et de nous mettre au chaud tout près du poêle qui ronfle sévère !
Soirée « times’up maison », saucissons/patates et boissons en tout genre.
La petite liqueur à la verveine de Marie-Noëlle m’a bien plu…
Dehors la tempête se déchaine, la cabane est solide et nous passons une excellente nuit.
Au réveil le baromètre a encore plongé, il pleut et neige abondamment.
Après un copieux petit déjeuner nous descendons sous le déluge ravis de ces bons moments passés là-haut dans la Bergerie des Chaumailloux.
Les participants : Anne, Hervé, Maud, Clémence, Katia, Fred, Marie-Noëlle, Jean-Paul, Marie-Pierre et Michel

La Tête de l’Aupet – Dévoluy – 20 décembre 2015

Comment éliminer le réveillon ?
C’est simple : anticiper.
C’est pourquoi nous avons remonté la longue, fastidieuse mais ô combien esthétique crête de la Clape jusqu’au sommet de la Tête de l’Aupet.
En tout 1500m de dénivelé, soit 5000 calories à la louche !
On peut sereinement envisager les escargots et le foie gras.
Mais aurons-nous au dessus de notre assiette le vol majestueux du Gypaète barbu ?
Au fait, est-il comestible ?
Alors joyeux Noël