Randonnée pédestre

Un bon rapport qualité/prix dans le Dévoluy.
Pas de neige tan pis : on balade.
A l’entrée du Dévoluy, c’est le premier sommet sur la gauche.
Départ du parking des Hauts-Gicons.
Pour ne pas jouer « les sangliers » on peut suivre le sentier qui mène à la falaise du Pieroux et le quitter sur la droite au niveau du premier cairn.
Une confortable sente traverse la forêt garnie de genévriers.
Elle se poursuit jusqu’au sommet en longeant les spectaculaires falaises du Pieroux.
Au sommet 360° et vue plongeante sur le Lac du Sautet.

Le Champsaur est une mine pour la rando en toutes saisons.
Cette fois nous choisissons la Prouveyrat (2468m) au départ des Richards (1575m) que nous gravissons à pied en trouvant un peu de neige sous les crêtes et le sommet.
La recette du jour :
– rassembler dans une grosse gamelle, soleil, nuages, neige, rochers, couleurs d’automne et des sommets à profusion.
– touiller sans modération
Il ne reste plus qu’à passer à table  !
Les participants à ces agapes : Katia, Milène, Fred, Marie-Pierre et Michel

Fini momentanément le ski.
Depuis longtemps une crête qui mène au Pierroux nous tentait.
En début d’après-midi, nous sommes partis d’Ambel et par chemins et routes forestières, nous avons rejoint la Tête de la Sambut.
Le balisage très précis indique la Croix de la Plaigni.
Nous avons prolongé la grimpette jusqu’à l’Aup, petit sommet au raz du Pierroux.
Pour faire un circuit, nous sommes descendus par Monestier d’Ambel.
Toujours dans la tradition « collective Mounier : galère assurée », nous sommes rentrés nuitamment par la route jusqu’à la voiture au lieu-dit La Palisse.

Une belle journée à saisir entre 2 passages perturbés !
Nous sommes allés piqueniquer au sommet du débonnaire Chauvet entre Oisans et Dévoluy.
Trois heures de balades pour un dépaysement optimal.
Plus de beauté et de calme serait insoutenable comme dit notre amie Patricia.

Avant dernière journée de l’été indien.
Avec Milène, Georges, Didier et Marie-Pierre, nous sommes allés musarder parmi les Grès du Queyrel au dessus de Chaillol 1600 dans le Champsaur.
Dépaysement assuré parmi les arches, les canyons, les cirques et les monolithes.
Cette course décrite par Pascal Sombardier dans son livre « Vertiges d’en haut » mérite bien ce titre car on évolue sur des vires improbables…
Un pied sûr est de rigueur et un brin de corde n’est pas de trop.
Un beau cadeau de « dame nature » !
Maintenant il peut neiger !