Cette arête qui n’a pas encore de nom nous a réservé quelques surprises ! Dans les trois premières longueurs tout se passe bien, l’équipement comme d’habitude est irréprochable et même si ce n’est pas le Verdon, l’escalade est plaisante et le caillou correct à condition de « faire le tri » dans les prises de pieds et de mains.
Mais c’est pour la suite que j’ai regretté de ne pas avoir pris mes crampons. Sur 3 longueurs on remonte vaillamment l’arête qui est dans un état de décomposition avancé, toujours bien protégés par des points judicieusement placés : l’ouvreur a du métier !
Heureusement la partie terminale nous réserve une bonne surprise ! Après une courte traversée terreuse sur la droite, on se trouve au pied d’un magnifique mur vertical avec 2 longueurs athlétiques en fissures (5c/6a).
Cette sortie particulièrement soutenue s’évite en montant tout droit sur 2 longueurs faciles mais terreuses.
La journée est sauvée ! Au final une course peu soutenue, pleine de caractère dans un cadre splendide. La vue sur l’arête du Trident de Cognet est vraiment incroyable !
Mais attention, certains passages sont délicats et requièrent une certaine expérience de progression en terrains émiettés…
Remarque : topo et nom finalisé (*) sortiront dans quelques temps dans le Roc-Info, la publication de l’ECI (Escalade Club de l’Isère – Le club des équipeurs de l’Isère)
(*) qui dévoilera sans fard l’état déliquescent des lieux…
Merci vraiment à Pascal de m’avoir proposé de découvrir ensemble cette toute nouvelle voie. Et encore un autre grand merci à l’ouvreur Jean-Michel Cambon !
Le YVES
Bien vue, encore une de plus!
A vous deux il y a de un concentré d’expérience!!!!
Bravo;
Le YVES
IMBERDIS
:-))
Christian
Y’a de la cordée la, bravo les Mecs !!
Va falloir lui trouver un nom à cette voie….!?!?
L’Anonyme…..une voie sans nom !!!!!